Un mot pour appuyer les propos de Mme Panot : il faut bien comprendre qu'aujourd'hui, quelqu'un qui veut commettre un attentat évite de passer par les réseaux. Ce n'est pas de cela qu'il s'agit ! Si quelqu'un se sert des réseaux pour commettre un attentat, c'est a priori un imbécile, donc quelqu'un qu'on parviendra à trouver par des moyens beaucoup plus simples qu'une surveillance globale.