Le problème, c'est que l'on ne dispose d'aucune évaluation précise des effets d'une telle mesure. Nous sommes donc convenus de nous en remettre à la sagesse du Gouvernement, étant entendu que nous étions pour notre part plutôt circonspects. Si je comprends l'objectif de l'amendement, qui, dans le contexte de la réforme des chambres de commerce et d'industrie, semble plutôt bienvenu, je suis, je le répète, incapable de mesurer la portée d'une telle mesure – mais probablement le secrétaire d'État va-t-il nous éclairer sur ce point.