Ce n'est pas le premier amendement que je défends et, s'il était plus observateur, M. Chenu saurait qu'il peut m'arriver de retirer un amendement pour mieux y revenir ensuite.
J'entends ce que dit le rapporteur général. J'aimerais seulement savoir quelle fenêtre de tir il me donne : pourrions-nous revenir sur cette question à l'occasion de l'examen de la seconde partie du projet de loi de finances, forts d'une vision plus globale de ce que sont la nature et la qualité des aides données à la presse écrite ? Je pense notamment à des déséquilibres qui ne sont pas profitables à la presse régionale ou locale.
Je sais ce que je fais en présentant cet amendement ; je sais aussi ce que je fais en le retirant – pour peu que j'aie bien confirmation que, d'ici à l'examen de la seconde partie du projet de loi de finances, nous pourrions revenir sur ce dispositif afin de nous montrer plus justes.