Le rapporteur général a rappelé les conditions qui ont conduit les journalistes à bénéficier d'un abattement ; or elles ne sont plus réunies et chacun peut s'accorder pour considérer que les grands groupes audiovisuels, que les grands groupes de presse ont les reins suffisamment solides – ils sont tenus par cinq ou six milliardaires – , pour que cet abattement ne soit plus défendable. Il est même particulièrement injustifiable devant nos compatriotes qui, eux, ne bénéficient pas du même avantage.
Nous vous proposons tout simplement de mettre fin à un dispositif totalement suranné.