Monsieur Dufrègne, je comprends votre préoccupation, mais je ne pense pas que le système que vous proposez soit nécessaire. Nous avons ouvert des centres d'appel, et encore, la semaine dernière, à Amiens et à Angers.
Par ailleurs, les taux élevés de décroché au téléphone – 92 % – et les rendez-vous permettent de répondre de manière très satisfaisante aux questions sur le prélèvement à la source. L'administration fiscale répond désormais au téléphone en moins de dix secondes lorsqu'on l'appelle à ce sujet.
Enfin, il me semble que les dispositions proposées ne relèvent pas du domaine législatif. Toutefois, j'entends qu'il ne coûte pas grand-chose de vous être agréable, monsieur Dufrègne, et je donne un avis de sagesse, non sans penser qu'il est de mauvaise législation que de s'occuper d'une pratique administrative. C'est bien là pour vous montrer mon ouverture d'esprit, et aussi parce que j'aime beaucoup les gens de l'Allier, comme vous le savez !