En fait, monsieur Pupponi, nous étions convenus, y compris avec les représentants de votre groupe, d'avancer assez rapidement dans cette discussion, sachant que le débat en cours relève plutôt de la seconde partie du projet de loi de finances que de la première – même si je comprends bien que nous avons affaire à des amendements d'appel, souvent déposés par des députés élus en Corse. Nous aurons cette discussion en seconde partie, et vous pourrez en particulier en discuter avec le ministre de l'économie et des finances. Je ne sais pas ce qu'il annoncera ; je sais seulement qu'il se rend sur l'île de Beauté. Franchement, je ne sais pas grand-chose, si ce n'est que j'ai eu sur mon bureau le rapport de l'inspection générale des finances.