J'ai bien compris que vous alliez mener une réflexion sur toutes les personnes qui résident en France avec un titre de séjour légal. Mais pour celles dont je parle, la réflexion ne pourrait-elle déboucher tout de suite ? Sinon, on risque une rupture d'égalité. Les apatrides et les protégés subsidiaires sont protégés au niveau international ; c'est leur statut. Il s'agit de quelque 45 000 personnes, c'est-à-dire très peu. Expliquez-moi pourquoi il faudrait attendre !