On ne peut pas dire aujourd'hui que l'IS pèse lourdement sur les entreprises, d'autant plus que l'on a diminué son taux car son niveau très élevé rendait son assiette très mitée. Je tenais à rappeler ces chiffres, puisqu'ils proviennent de rapports commandés par la commission des finances et que tout le monde peut en être informé.
La part de l'IS dans les recettes de l'État a chuté, puisqu'elle s'élevait à 14 % en 2006 et qu'elle n'atteignait plus que 8 % dix ans plus tard.
Au vu de ces chiffres, il n'est aujourd'hui pas opportun de baisser l'IS, la niche Copé entrant dans son rendement.