En 2000 : zéro. En 2005, 30 milliards de déficit et, depuis lors, nous ne sommes jamais sortis du marasme.
Si la France veut redevenir une grande puissance commerciale exportatrice – ce qui doit, selon moi, être notre ambition – , il ne faut négliger aucun détail pour améliorer la compétitivité de nos entreprises. Je me rallie donc à ce compromis, qui me semble bon, car il faut aussi tenir compte des exigences en termes de fiscalité et de finances publiques qu'on rappelées Gilles Carrez et Émilie Cariou. N'oublions pas que notre objectif de très long terme est d'avoir des entreprises qui se portent bien dans tout le territoire, pour créer du travail pour tous les Français.