Je veux préciser que les clauses des contrats de concession, qui auraient pu être qualifiées d'exorbitantes du droit commun, ne sont pas du tout l'objet de l'amendement ; nous en avons déjà discuté en commission des finances. Un certain nombre de contrats ont en effet été négociés comme des pieds – excusez-moi ! – , car ils sont faits de telle sorte que l'État est pieds et poings liés face aux concessionnaires autoroutiers, mais ce n'est pas l'objet de l'amendement.