Je parle de l'ISF, monsieur Woerth, et vous êtes vous-même intervenu sur l'ISF-PME.
Madame la secrétaire d'État, je ne partage pas du tout votre point de vue. L'an dernier, au cours de la même discussion, nous avions fait observer qu'en cas de suppression d'un impôt, à défaut d'un dispositif permettant le fléchage de l'épargne libérée, celle-ci se dirige essentiellement vers les titres les moins risqués. De fait, on sait très bien que l'épargne s'oriente difficilement vers les PME, lesquelles sont le fruit d'une prise de risque, notamment individuelle.