J'aime assez les paradoxes, monsieur Bourlanges, mais nous sommes au contraire pour des lois qui encadrent très précisément la durée du temps de travail au lieu de la remettre en question, plafonnent les heures supplémentaires et fassent en sorte qu'elles coûtent plus cher. Nous sommes donc pour une intervention de l'État et n'avons aucun rapport avec les Chicago boys.