Je tiens à répondre aux remarques qui ont été formulées avant que nous passions au scrutin public, d'autant que des questions similaires se poseront dans la suite du débat. Ces questions méritent d'être posées : elles le sont du reste chaque année, quel que soit le Gouvernement, comme le savent les connaisseurs de la politique du sport. J'y reviendrai.
Le problème se pose, en définitive, à trois niveaux différents. Au premier niveau, il s'agit de la nature des taxes affectées : nous en avons débattu tout à l'heure avec le président Woerth et la présidente Rabault. À ce propos, madame Magnier, pardonnez ma franchise, mais rien n'est plus absurde que de dire qu'il faut « que l'économie paye l'économie, que l'eau paye l'eau » et que la culture paye la culture.