Eh bien, moi je vois, madame Dalloz, des présidents de chambre de commerce et d'industrie courageux, qui ont compris qu'il fallait réduire la dépense publique et qui, au lieu de se contenter de faire des proclamations en ce sens matin, midi et soir, préfèrent se retrousser les manches et agir au bénéfice de l'intérêt général. Eux, en outre, ont le courage d'assumer leurs décisions devant les salariés : je veux leur rendre hommage.