Si les choses allaient trop vite, si des difficultés particulières étaient rencontrées dans certaines CCI, nous réviserions le rythme de la trajectoire. C'est comme cela, me semble-t-il, que l'on réussit une transformation : on donne l'élan au départ, mais on ralentit le rythme si cela apparaît nécessaire. Cela ne pose pas de difficulté ; une telle attitude me semble responsable, lucide et efficace.
Une question a été soulevée à juste titre par certains parlementaires, celle des CCI situées en zone rurale.