Julien Aubert a bien résumé les choses. Je me souviens de l'engagement pris par M. Maillard lors de l'examen du projet de loi relatif à la formation professionnelle. Chacun connaît son expertise en la matière. Je souscris d'ailleurs aux propos qu'il a tenus : il convient de laisser l'intégralité des sommes versées par les entreprises à leur disposition, afin d'améliorer la formation des artisans.
Il est deux heures moins cinq du matin, monsieur le ministre, c'est vrai. Les conditions de travail ne sont donc pas optimales, mais nous parlons ici de sujets importants. Pour régler le problème du chômage, il faut aussi former les gens. Et bien les former, cela commence par faire en sorte que l'effort qu'ils consentent à cette fin y soit bien affecté. Entendez ce message qui vous a été adressé par un membre de la majorité. Pour notre part, nous y souscrivons.