La prévention n'est ni pilotée, ni gouvernée. Les crédits ne sont pas identifiés. Les politiques ne sont pas évaluées.
Pourquoi n'avoir pas ajouté à l'ONDAM un sous-objectif lié à la prévention, qui permettrait, chaque année, de sanctuariser par le vote du Parlement un budget propre et de procéder à l'évaluation des actions menées ? Je ne crois pas qu'il existe de politique prioritaire à laquelle on n'affecte aucun moyen, sauf, une nouvelle fois, à se payer de mots.