Qu'il s'agisse des cas de fusion ou des risques psycho-sociaux, le fait d'appréhender à la fois les dimensions économique et sociale nourrira un dialogue social de plus grande qualité et de plus grande portée.
Dans les TPE et PME – c'est un fil rouge de cette réforme –, nous devons trouver une solution opérationnelle. Elle n'est pas simple, car aujourd'hui, après plusieurs décennies d'effort et l'adoption de nombreux textes, il n'y a pas, avec seulement 4 % de délégués syndicaux, de dialogue social structuré dans les TPE et PME.