Mes questions porteront sur le numérique.
La gendarmerie a engagé sa transformation en ce domaine avec NéoGend. Ces outils ont-ils été généralisés à l'ensemble des brigades territoriales ? Pourriez-vous faire le point sur leur développement ?
La gendarmerie a également mis en place un self-service numérique avec la brigade numérique, composée d'une vingtaine de gendarmes formés pour répondre aux questions envoyées en ligne par les usagers dans des domaines variés. Pour y accéder, nos concitoyens doivent bien sûr disposer d'internet. Comptez-vous passer des conventions avec les maisons de services au public (MSAP) afin de rendre ce service accessible au plus grand nombre de personnes ?
Comme chaque service public, la gendarmerie est obligée de publier sur internet des données publiques. Où en êtes-vous de votre politique d'open data ? L'organisation des communautés de brigades rend parfois difficile de connaître les horaires d'ouverture des gendarmeries. Une meilleure information s'impose.
Enfin, qu'en est-il du classement des pelotons de surveillance et d'intervention (PSIG) en configuration Sabre ? Le projet de loi de finances pour 2018 envisageait la création de cinq nouveaux PSIG-Sabre, ce qui portait leur nombre à 150. Qu'en sera-t-il pour les années à venir ?