Cela fait seulement deux ans que j'occupe cette fonction de rapporteur spécial. Autant la dématérialisation du travail de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique a fait l'objet d'un investissement important et fonctionne plutôt bien – d'après ce que j'ai pu constater –, autant du côté de la CNCCFP, on en reste, année après année, à des études préalables qui ne se sont traduites pour l'instant par aucune traduction opérationnelle de nature à donner une plus grande efficacité son fonctionnement. Son président ne formule pas de demande particulière à ce sujet, mais il était proposé d'étaler sur deux années les études préalables à la réalisation d'un processus de dématérialisation certes compliqué. Le moment est venu de donner les moyens à la Commission d'engager réellement ce travail afin qu'il se concrétise sur le plan opérationnel à partir de 2020 ou 2021. C'est une façon d'accélérer un processus engagé et que je trouve pour ma part beaucoup trop lent.