Sans revenir sur ce que vient de dire le rapporteur général, je voudrais expliquer pourquoi nous avons pris cette décision. C'est simple à comprendre : nous avons, en réalité, tiré les leçons de l'expérience. Il est fréquent, de nos jours, que certains médicaments très innovants, notamment en cancérologie, obtiennent une première indication sur une niche ; c'est-à-dire qu'ils concernent, au départ du moins, très peu de malades.