Il n'y a rien d'excellent, mes chers collègues, d'autant que les propos de M. le ministre correspondent exactement à ce que j'ai dit : M. le Président de la République supporte le coût de ses déplacements privés. Il n'y a aucun souci sur ce point. Relisez l'exposé sommaire de mon amendement : nous n'avons pas dit que c'était normal ou anormal. En revanche, nous demandons plus de transparence sur ces coûts car les montants communiqués n'incluent pas la masse salariale des agents mobilisés par ces déplacements. C'est tout !
Je n'ai pas parlé de « président des riches ».