On ne saurait parler de gabegie. Comme l'a expliqué à de nombreuses reprises la ministre des armées, des marges de manoeuvre ont pu être trouvées en mobilisant la trésorerie de certaines agences internationales et en décalant dans le temps les engagements.
Nous sommes d'accord pour dire que les hausses de crédits en faveur de la défense doivent s'accompagner d'une gestion irréprochable. Eu égard aux divers chantiers de modernisation du ministère, nous avons pleinement confiance dans le fait qu'« un euro dépensé sera un euro utile ».
Notre groupe ne votera pas cet amendement.