Loin d'une écologie punitive, la perspective d'un horizon à 2040 est mobilisatrice.
Jean-Marie Sermier nous parlait tout à l'heure de son territoire, en particulier de la ville de Dole, et des expériences qui y sont menées. Il aurait pu évoquer les actions conduites en Franche-Comté autour de l'hydrogène. Je suis persuadé que l'horizon de 2040 incitera nombre d'industriels – certains sont déjà engagés dans la démarche – à passer du stade de l'innovation, du démonstrateur, à celui de l'industrialisation des systèmes. C'est très important.
C'est de cette manière que la France pourra continuer à parler au monde : parce qu'elle saura offrir à la planète des solutions sur toutes les grandes questions qui nous intéressent aujourd'hui et qui vont nous permettre de vivre mieux dans les années à venir. Il est de notre responsabilité de donner à la France la possibilité d'agir en ce sens.