C'est donc un moment de vie normal, de bonheur rare, qui se trouve rayé du quotidien, et ce pour alléger les charges de la sécurité sociale.
Monsieur le Premier ministre, est-il acceptable que l'obsession de réduction des dépenses publiques conduise à remettre en cause, notamment pour des personnes handicapées, des droits aussi fondamentaux qu'un revenu correct, un logement adapté et des moments passés en famille, en un mot, qu'elle conduise à remettre en cause le droit au bonheur ?