Nous constatons que la politique du « tout-radars » a atteint ses limites. En réalité, elle permet à l'État de remplir ses caisses. C'est un énième volet de la stratégie qui consiste à transformer les automobilistes en cash machines. La hausse du prix des carburants, qui anime nos débats, en constitue un autre aspect.
Par cet amendement, nous proposons tout simplement de supprimer la ligne budgétaire dédiée au déploiement de nouveaux dispositifs de contrôle. Pour améliorer la sécurité routière, nous préférerions consacrer davantage de moyens à la rénovation de notre réseau routier. Nous vous invitons donc à voter cet amendement.