Ma question paraîtra peut-être un peu décalée. Elle porte sur l'environnement. Actuellement, le site de Châteaudun recueille 500 aéronefs à déconstruire. S'ajoutent des avions stationnés sur les bases aériennes, bientôt des Mirage 2000N, et des avions-écoles tels que l'Alphajet et l'Epsilon qui vont être retirés. Ma question semblera provocatrice : y a-t-il un déni de déconstruction ? Ces questions seront-elles prises à bras-le-corps ? Elles apparaissent dans la LPM, où la responsabilité du traitement et de la dépollution incombe à un prestataire attributaire. Cette mission sera-t-elle confiée à la nouvelle DMAé ? Dans tous les cas, il faut se saisir du problème.