J'ai vécu de près la crise financière en 2009. Dès lors qu'il s'agit de libérer des garanties financières, je puis vous assurer, mesdames, messieurs les députés, que l'État sait très bien s'organiser sans que plusieurs mois soient nécessaires.
Afin de faire preuve d'ouverture, nous proposons de maintenir la ligne budgétaire. Celle-ci pourrait même être dotée d'un euro, cela ne changerait rien – ni au financement des entreprises, qu'elles relèvent ou non du secteur du tourisme, ni à l'accès à la facilité de crédit dont elles bénéficient.