Je ne reprendrai pas l'ensemble des arguments avancés par mes collègues ; je me contenterai de donner un exemple. Dans ma commune de Châlons-en-Champagne, le FISAC a permis de sauver un centre commercial installé dans un quartier de la politique de la ville – QPV. Sans ce fonds, concrètement, il n'y aurait plus aucun commerce dans ce quartier prioritaire. C'est donc à mon sens un outil vraiment indispensable pour accompagner les projets de maintien du commerce et de l'artisanat.
Honnêtement, nous ne comprenons pas bien le choix du Gouvernement : pourriez-vous, madame la secrétaire d'État, nous l'expliquer ? Nous sommes tous, je crois, assez dubitatifs.