Il vise à créer un nouveau programme, intitulé « Recyclage et réparation », qui serait doté de 10 millions d'euros et dont l'objectif serait de soutenir les filières françaises du recyclage. Comme je l'ai indiqué précédemment, il manque une passerelle entre la recherche et développement et l'industrialisation des procédés identifiés. Nous pensons que ces crédits permettraient de remédier à ce problème et de soutenir l'écosystème économique de la réparation. L'allongement de la durée de vie des produits est un axe majeur du développement durable : il permet de réduire la quantité de déchets et de créer des emplois peu délocalisables. Cette mesure serait un signal fort adressé aux acteurs du recyclage et de la réparation, cohérente avec la feuille de route pour l'économie circulaire présentée par le Gouvernement.