Reposant toujours sur le même type de transfert de crédits, cet amendement vise à réengager l'État dans le secteur de l'aéronautique à la suite des cessions successives de capital étatique au sein de la société Safran, spécialisée dans la conception et la production de moteurs d'avions, d'hélicoptères, de fusées, d'équipements aéronautiques et de défense. L'État doit investir afin de garantir une véritable politique spatiale française. La participation renforcée de l'État est de nature à consolider cette entreprise, qui emploie plus de 70 000 personnes dans plus de cinquante pays.