L'amendement tend à ce que soit remis au Parlement un rapport qui cible les privatisations dans les secteurs bancaires, assurantiels, de l'énergie et des transports.
Ce rapport préciserait les recettes perdues par l'État à la suite de la cession de ses actifs depuis 1986, en analysant la performance économique qui consiste à préférer des taux d'intérêt faibles à des dividendes élevés, et le nombre d'emplois détruits ou perdus à la suite de ces cessions.