Oui, monsieur le président. Après les discours, il faut aujourd'hui des actes. Monsieur le secrétaire d'État, vous avez cité l'exemple de l'Alsace : c'est l'illustration parfaite de la différence entre un beau discours et des actes qui restent à concrétiser. Et quand on a un discours qui n'est pas suffisamment engageant pour une vraie créativité, il faut là aussi des actes.