L'AFPA se trouve, depuis l'ouverture à la concurrence de son activité, dans une situation financière fortement dégradée, que les subventions financières ne peuvent résoudre. L'année dernière, à la même époque, la ministre du travail avait indiqué la nécessité d'un plan de transformation à même de garantir la pérennité de l'AFPA. Il n'est pas question de laisser mourir cette agence.
L'AFPA doit évoluer dans un nouvel environnement, et avec de nouveaux concurrents. C'est tout l'objet du plan de transformation qui est engagé. La procédure de réorganisation doit suivre son cours, dans le respect des modalités de consultation des instances représentatives du personnel. Cet amendement n'a pas été examiné en commission. À titre personnel, j'y suis défavorable.