Je m'exprime au nom des députés communistes pour faire part de notre mécontentement. Il nous est impossible de pouvoir travailler correctement, et notre droit d'amendement, pourtant garanti par la Constitution, est bafoué. Même s'il ne nous est pas formellement interdit de déposer des amendements, dans la mesure où nous sommes retenus en commission et en séance, il ne nous sera pas possible d'en discuter correctement. Ce droit inaliénable est d'autant plus important que nous parlons ici de sujets qui soulèvent beaucoup d'inquiétude dans le pays.
Nous ne pouvons nous satisfaire de cette situation, et je propose donc à nos collègues d'en donner acte en quittant cette audition.