Chère collègue, vous proposez d'abonder le programme « Enseignement scolaire public du second degré » de 324 millions d'euros afin de revenir sur la suppression de 2 650 postes prévue et d'en créer 1 350 supplémentaires. Votre argumentaire met en avant le fait que le ministère de l'éducation nationale supporte à lui seul 43,5 % des suppressions de postes dans la fonction publique. Or il représente à lui seul 52,3 % des emplois financés par le budget de l'État.