Monsieur le secrétaire d'État, il n'est pas question de refaire le débat sur la réserve parlementaire, dites-vous, mais les amendements visant à abonder le FDVA sont liés à la suppression de cette dernière. En effet, à la faveur de la transformation de la réserve parlementaire en FDVA, vous avez ponctionné la moitié des crédits. Il manque donc des fonds pour aider les associations.
Vous prétendez que le moment est mal choisi pour baisser les subventions aux associations, pourtant, vous l'avez fait.
Quant à l'opacité évoquée par Mme la rapporteure spéciale, le fonctionnement actuel ne révèle pas une plus grande transparence que par le passé.
Monsieur le secrétaire d'État, la réserve parlementaire finançait les classes découverte et les classes de neige. Aujourd'hui, les écoles se tournent vers nous.