Il existe en outre un fort enjeu financier. On peut réaliser des économies et le retour sur investissement est immédiat. Le coût de la greffe est le même que celui de la dialyse, mais, dès l'année suivante, le suivi de la greffe coûte trois à quatre fois moins cher.
Nous avons créé le groupe « Greffes + », qui fédère toutes les associations représentant le coeur, les reins, le foie, le poumon et nous serons vigilants sur les résultats. Nous ne comprendrions pas que l'objectif de 7 800 ne soit pas atteint. Le potentiel est là. On ne peut pas conserver un taux de refus de 40 % alors qu'on parle de fraternité.