Je maintiens aussi mon amendement. La loi établit une estimation artificielle du rythme d'évolution des dépenses de fonctionnement des collectivités territoriales. Il ne s'agit pas de laisser déraper celles-ci, mais on ne peut pas non plus laisser augmenter à l'infini le différentiel entre les compétences déléguées et les moyens réels d'intervention.