Monsieur le député, votre raisonnement n'est pas plus convaincant que le mien. Vous dites que les parquets sont débordés et n'ont pas le temps d'accomplir les actes d'enquête qu'ils doivent réalisés. Mais s'ils ne disposent pas de ce temps en six mois, ils l'auront encore moins en trois mois ! Je ne vois pas en quoi laisser la situation en l'état détériore la condition des victimes…