Il est très important que quelque chose de lisible sorte des États généraux de l'alimentation.
Les nombreux acteurs reçus par notre commission nous ont confié qu'ils avaient parfois davantage réussi à s'exprimer à l'Assemblée que dans les ateliers de ces États généraux. Pour ma part, je m'interroge : les parlementaires seront-ils vraiment associés à ce travail ? Ils n'en ont pas le sentiment aujourd'hui. Je suis contraint d'organiser mes propres états généraux : dans mon territoire, je n'ai été contacté ni par le préfet, ni par les services concernés. À l'Assemblée, les députés ont travaillé d'arrache-pied ; mais, dans mon département du Loiret, je n'ai pas été sollicité… Comptez-vous vous appuyer sur nous afin que nous produisions conjointement un discours lisible par tous ? Nous nous grandirions à travailler ensemble.