Il n'existe aucun accompagnement de l'État. Je n'ai aucun moyen de mobiliser le FIPD – le fonds interministériel de prévention de la délinquance – sur un sujet de ce type.
Troisièmement, pour les publics les plus empêchés, les plus fragilisés, les commissions départementales d'accès au droit sont financées, mais force est de constater que, là encore, les moyens manquent…