Comme je l'avais dit en commission, monsieur Bernalicis, j'ai quelques doutes sur l'existence même d'un « délit d'évasion » d'un CEF. Dans l'hypothèse que vous évoquez, le magistrat peut prononcer une peine d'incarcération, mais il n'y est évidemment pas tenu. Nous aurons, sur ce sujet, à examiner un amendement de Stéphane Mazars et de Jean Terlier. À ce stade, l'avis est donc défavorable.