Les dispositions dont nous demandons la suppression – aux alinéas 3 et 14 à 27 – visent à étendre les possibilités de recours à la visioconférence. Nous avons déjà eu ce débat lors de la loi asile et immigration : nous avions dit alors qu'après avoir réduit les droits des étrangers, on ne tarderait pas à réduire ceux de toutes et tous. C'est le chemin que nous prenons.