Tout d'abord, madame Dalloz, je respecte le règlement de votre assemblée. Comme vous l'aurez constaté depuis dix-sept mois, je suis toujours à la disposition des parlementaires pour répondre à leurs questions, y compris lorsqu'elles n'ont pas de lien direct avec le contenu des amendements en discussion.
Je vous réponds donc qu'avec ma propre tablette numérique et mes codes personnels, j'ai pu me connecter sans problème, en quelques instants, au site internet de l'administration fiscale. Apparemment, cela fonctionne aussi, au banc des commissaires du gouvernement, pour ma directrice adjointe de cabinet.
N'hésitez pas, madame Dalloz, à me saisir de ce genre de questions, y compris en dehors de l'hémicycle. Il n'est pas utile de faire un rappel au règlement pour cela. Quoi qu'il en soit, je ne fuis pas mes responsabilités.
Ensuite, s'agissant de l'amendement, je vous rappelle que, pour la première fois, nous avons réduit le déficit jusqu'à le faire passer sous le seuil des 3 % du PIB. J'ajoute que si j'écoute vos propositions, je comprends qu'il faut arrêter les taxations – c'est globalement ce que j'ai compris en lisant les débats qui ont eu lieu ici lors de l'examen du PLF – , et qu'il faut dépenser plus d'argent public, puisque vous vous opposez, si j'écoute M. Cornut-Gentille, au financement des OPEX par le seul budget des armées, ce qui signifie qu'il faut prendre aux autres ministères…