Je vous remercie de votre réponse, monsieur le secrétaire d'État.
Le problème est que le cabinet chargé d'identifier de potentiels repreneurs a envoyé 226 courriers et n'a reçu que 10 réponses, toutes négatives. Les salariés sont donc très inquiets.
Ils présentent un profil un peu particulier, puisque 70 % d'entre eux sont des ouvriers très spécialisés, mais ont un niveau de diplôme inférieur ou égal au bac, et une moyenne d'âge très élevée, qui tourne autour de 50 ans. Ils sont très peu mobiles, et nous devons nous mobiliser pour eux, d'autant plus que le département d'Indre-et-Loire a déjà subi d'importantes restructurations d'entreprises.