Les Français veulent être représentés légitimement et proportionnellement dans cette maison qui est la leur et qui se devrait de répondre à leurs attentes avec des règles adaptées en ce sens.
Pour répondre à ces aspirations populaires, mes collègues non inscrits et moi-même avons déposé une série d'amendements : les premiers, fondamentaux, visent à reconnaître l'expression du suffrage de millions d'électeurs en abaissant à dix le nombre d'élus requis pour pouvoir constituer un groupe politique, contre quinze actuellement.