Je veux bien que le rapporteur général nous fasse des réponses un peu développées, à condition que ces développements soient judicieux. Monsieur Véran, vous savez bien que la technique parlementaire nous empêche de faire autrement. Il faut gager certains amendements : on le fait sur le tabac, cela pourrait être sur autre chose. Vous n'ignorez pas que c'est ainsi que nous pouvons exercer notre droit de parole. Nous envoyer aux pelotes avec des arguments de ce genre, ce n'est pas très sérieux et même, pour tout dire, assez pitoyable.