Vous avez évoqué l'apparition de nouveaux outils biomédicaux ; à cet égard je pense particulièrement aux risques que les nouvelles technologies font peser sur nos sociétés à travers les radiations, les perturbateurs endocriniens, les pesticides et les nanoparticules de carbone. Face à ce risque stochastique, comment l'INSERM envisage-t-il de développer un outil de lutte toxicologique contre ces nouvelles menaces ?