Dans ce cas, monsieur Grelier, détaillons dans la loi les cinquante ou soixante troubles neurodéveloppementaux ! Je connais de nombreuses familles qu'inquiéterait la mention spécifique des troubles « dys » comme troubles neurodéveloppementaux si n'était pas spécifiée aussi la maladie dont souffre leur enfant. Franchement, il n'y a pas là un combat qui me semble primordial.